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Publié le 23 novembre 2012 par Franck Perrier

La notion de communautés est l’une des notions au cœur des préoccupations de celles et ceux qui installent des réseaux sociaux d’entreprise. Mais elle est souvent traitée de façon incomplète et limitative. Elle s’appuie sur une abstraction qui est mal partagée : qu’est ce qu’une communauté ?

Traditionnellement, le point de départ est de réunir des individus potentiellement  intéressés par des sujets. Par exemple, autour de la veille, réunir les membres des départements marketing et R&D, ou la communauté des commerciaux et des ingénieurs avant-vente autour de la prospection commerciale.

Or naturellement, on recherche des informations sur des sujets plutôt que des correspondants qui parlent du sujet. C’est la façon de chercher sur Google : on cherche le contenu plutôt que les « sachants », à travers des mots clés principalement. La notion de communautés découle donc aussi de la notion de sujet. Cette idée de « sujets » est très présente chez Tibbr, assez unique à ma connaissance sur le marché.

L’organisation du contenu se définit et se hiérarchise pour l’ensemble de l’entreprise par les administrateurs qui en ont les droits, un peu comme un mapping. La communauté se rassemble donc autour du sujet.

Je me pose la question de savoir si tout le monde peut être accepté dans la conversation sur un sujet. Sur Tibbr, on peut avoir des sujets privés sur invitation du propriétaire du sujet, publics – tout le monde peut participer – ou semi-privés où l’entrée est soumise à approbation. Il existe également la fonction « broadcast », tel un message d’annonce, poussé par exemple par un RH pour l’ensemble des collaborateurs.

Mur d’activité et dashboard sur Tibbr

Tibbr est basé un mur d’activité – activity stream. C’est un modèle plébiscité avec Facebook qui a introduit cette idée, reprise largement y compris en micro-blogging avec Twitter.

Pour beaucoup d’entreprises, après l’installation du réseau social, la question qui se pose est celle de l’activité et de la montée en puissance de ce réseau à l’interne. Le score d’influence sur Tibbr peut avoir comme intérêt de récompenser l’activité du collaborateur. C’est d’autant pus intéressant si des objectifs de mutation de comportement font partie des objectifs et du ROI. Un exemple est celui de muter de l’email vers la plateforme collaborative. C’est le fameux « Zero email » d’Atos, prôné à l’interne par son PDG Thierry Breton, et qui se déploie à l’interne à travers la solution BlueKiwi, rachetée au printemps 2012.

Le dashboard très ergonomique de Tibbr permet à chacun des utilisateurs de savoir ce qui se passe dans son propre réseau social, en lien avec sa propre activité. Les metrics sont précis, agréables à lire, centrés sur les usages et cliquables pour renvoyer sur les données.

Tibbr est un nouvel entrant donc sur le marché français, avec 150 références dans le monde dont Cathay Pacific, KPMG, Macy’s, Scania, Davos, et un des membres du CAC 40, et avec plus d’un million d’utilisateurs payants.

A découvrir donc et à essayer !